Le premier degré de l’enseignement secondaire est organisé en un seul cycle de 2 ou 3 ans. Cette structure reconnaît l’importance du temps nécessaire à la construction et à la maîtrise de compétences disciplinaires et transversales ainsi que la diversité des rythmes et des modes d’apprentissage.
L’évaluation du travail accompli au terme des deux premières années n’est pas une moyenne arithmétique des résultats d’épreuves ponctuelles et disséminées. Pour chacun des élèves, elle rend compte de son évolution et de son degré de maîtrise des compétences qui constituent les objectifs prioritaires de la formation du premier degré.
La 1ère année du degré différencié vise à réconcilier l’élève avec son milieu scolaire. Une équipe très motivée d’enseignant(e)s prête une attention toute particulière aux besoins affectifs et pédagogiques des enfants.
Au terme de cette année, les élèves présenteront l’épreuve externe afin d’obtenir le Certificat d’Etudes de Base (CEB). Deux scénarios sont possibles:
- en cas de réussite, le passage est obligatoire vers la première année commune;
- en cas d’échec, l’élève est orienté vers une deuxième différenciée.
La 2ème année du degré différencié est la poursuite de la 1ère avec les mêmes objectifs: la maîtrise des compétences à 12 ans. Les élèves présenteront l’épreuve externe en fin d’année afin d’obtenir le CEB. En fonction des résultats, l’élève sera orienté vers une deuxième ou troisième année.
Un PIA construit par et pour l’élève rend celui-ci acteur de son projet et de ses progrès. Il génère un dialogue régulier entre les membres du conseil de classe, l’élève et ses parents.
Grille du premier degré commun
La 1ère année du degré différencié vise à réconcilier l’élève avec son milieu scolaire. Une équipe très motivée d’enseignant(e)s prête une attention toute particulière aux besoins affectifs et pédagogiques des enfants.
Au terme de cette année, les élèves présenteront l’épreuve externe afin d’obtenir le Certificat d’Etudes de Base (CEB). Deux scénarios sont possibles:
- en cas de réussite, le passage est obligatoire vers la première année commune;
- en cas d’échec, l’élève est orienté vers une deuxième différenciée.
La 2ème année du degré différencié est la poursuite de la 1ère avec les mêmes objectifs: la maîtrise des compétences à 12 ans. Les élèves présenteront l’épreuve externe en fin d’année afin d’obtenir le CEB. En fonction des résultats, l’élève sera orienté vers une deuxième ou troisième année.
Un PIA construit par et pour l’élève rend celui-ci acteur de son projet et de ses progrès. Il génère un dialogue régulier entre les membres du conseil de classe, l’élève et ses parents.
Grille du premier degré différencié
Informatique – 3° – 4° TI
Ce deuxième degré vise à développer:- une solide formation générale humaniste,
- un sens aigu de l’observation et de l’analyse,
- des facultés d’auto apprentissage,
- une ouverture aux technologies nouvelles.
Informatique – 5° – 6° TI
Ce troisième degré vise à:- former les élèves à mobiliser, au travers de véritables activités de production:
- les savoirs opérationnels fondamentaux (qu'ils doivent absolument s'approprier),
- les concepts fondamentaux de l’informatique,
- leurs capacités cognitives
- former les élèves à communiquer, à collaborer
- former les élèves à prendre en compte la dimension planétaire des sujets d'études : enjeux économiques, politiques, sociaux et culturels de l'informatisation
- former des élèves responsables.
Industrie du bois – 3° QB
En considérant comme support d'étude et d'exécution les ouvrages en bois suivants : portes intérieures et extérieures à traverses droites, châssis de fenêtre, meubles simples, l'élève sera capable de :- lire et interpréter les plans d'ensemble et de détails ;
- établir des croquis simples et des plans d'ensemble ;
- choisir les matériaux et les outillages nécessaires à la fabrication ;
- établir les bordereaux (de commande et de débit) ;
- organiser la fabrication d'un produit (ouvrage).
- Exécuter de manière rationnelle - à partir d'un minimum de directives, en utilisant l'outillage de base adéquat, en prenant en compte les impératifs de qualité, sécurité et hygiène - des ouvrages ou parties d'ouvrages.
Électromécanique – 3° QE
Cette option doit conserver un important degré de polyvalence car elle prépare à toutes les options du troisième degré du secteur industrie. Une bonne représentation des éléments de base tant en électricité qu’en mécanique est de première importance; la qualité prévaut sur la quantité. Tous les éléments en relation avec la mécanique et l’électricité convergent vers un ensemble intégré dans lequel se mêlent les savoirs, savoir-faire et savoir-être. Les démarches proposées en formation professionnelle ont un sens, elles partent de situations problèmes les plus proches de la profession. La capacité d’intégration de savoirs provenant des différentes disciplines revêt, dans le cadre de cette formation, un intérêt primordial.
Secrétariat – Tourisme – 3° QS
La 3ème année a pour objectif de développer les compétences de base communes aux 3 formations proposées à partir de la 4ème.- L’élève est initié aux fonctions de base du traitement de texte, acquiert la maîtrise du clavier, est initié aux fonctions de base du tableur ainsi qu’à l’un ou l’autre logiciel de présentation assistée par ordinateur.
- La 3ème année balaie les différentes étapes du fonctionnement de l’entreprise en l’intégrant dans une réflexion plus globale sur l’économie générale et l’éducation du consommateur. Une initiation aux documents commerciaux et à la comptabilité est prévue.
- l’élève sera également initié aux compétences d’expression orale et de communication, de classement, de gestion du courrier, de traitement de l’information, de prise de notes, etc. qui se retrouvent dans les 3 métiers de 4ème année. Les mises en application partiront de la vie courante du jeune pour aboutir petit à petit au monde de l’entreprise.
- L’apprentissage des langues, le plus important organisable au 2ème degré, constitue une part essentielle de la formation.
Agent(e) en accueil et tourisme – 4° – 5° – 6° QA
La maîtrise du français et de l’anglais de base est indispensable à l’exercice du métier, de même que la pratique d’au moins une autre langue étrangère. Ce type d’emploi postule un sens aigu de la communication (en face à face et au téléphone) et une connaissance précise des caractéristiques des produits distribués : destinations proposées par l’agence, attractions de la zone géographique couverte par l’office (patrimoine, manifestations, services publics, etc.). En conséquence, la capacité à chercher l’information, à la synthétiser et à la présenter est jugée essentielle. Par ailleurs, l’agent(e) en accueil et tourisme est aussi - et surtout - un(e) vendeur(euse) de loisirs, chargé(e) de l’accueil de la clientèle. Les évolutions technologiques ont une influence importante sur les méthodes de travail, notamment en matière de réservations. Il est donc indispensable que l’agent(e) maîtrise les outils informatiques les plus courants dans sa profession. Par ailleurs, le métier d’agent en accueil et tourisme peut imposer des prestations durant le week-end et les vacances. La formation s’articule autour de quelques grandes compétences :- Accueillir le client (au comptoir, au téléphone), communiquer en milieu professionnel.
- Repérer, collecter les informations pour informer et conseiller le client.
- Réaliser la vente et gérer le suivi.
- S’intégrer dans la culture du métier, s’intégrer dans la vie professionnelle.
Technicien(ne) de fabrication bois et matérieux associés – 4° – 5° – 6° QB
Les techniques et technologies de l'industrie du bois connaissent une évolution constante :- les matériaux modernes (panneaux, matières plastiques, matériaux composites, résines, colles, …) permettent des développements importants dans la construction neuve mais aussi en rénovation/restauration ;
- les machines modernes automatisées équipent la plupart des entreprises même de petite taille ;
- les outils de coupe (trains de fraises, …) sont installés sur la plupart des machines ;
- les robots et manipulateurs permettent de remplacer l'homme dans des tâches peu valorisantes de manutention, d'application des teintes, … ;
- les techniques informatiques (DAO, CAO, …) sont des outils incontournables lors de la réalisation des dessins d'ensemble et de définition.
- analyser un projet et sa faisabilité ;
- établir des coûts de production ;
- choisir les matériaux et les matériels appropriés ;
- organiser l'unité et le suivi de production ;
- assurer la gestion administrative et commerciale ;
- utiliser l'outil informatique ;
- appliquer les règles de prévention des accidents de travail, d'hygiène et de protection de l'environnement ;
- participer à la fabrication, contrôler la qualité de la fabrication et du produit fini ;
- s'intégrer dans la vie professionnelle.
Technicien(ne) en comptabilité – 4° – 5° – 6° QC
Le(la) technicien(ne) en comptabilité exécute, en tout ou en partie, les opérations comptables courantes liées aux activités d’un service comptable, dans une entreprise, dans une fiduciaire ou dans des services publics. Il est évident qu’aux compétences techniques, il convient d’ajouter des qualités relationnelles, l’ordre, la méthode, la rigueur et la précision dans le travail, le respect des règles déontologiques du métier. En outre, dans les PME, le travail est souvent associé au travail de secrétariat administratif. Le métier suppose une bonne maîtrise des outils informatiques les plus courants. La formation s’articule autour de quelques grandes compétences :- Gérer les documents à l’entrée.
- Gérer les documents à la sortie.
- Gérer les documents relatifs à la TVA.
- Gérer les comptes financiers.
- Effectuer les opérations diverses courantes.
- Participer aux travaux de fin d’exercice et/ou aux clôtures intermédiaires.
Technicien(ne) de bureau – 4° – 5° – 6° QD
« Technicien(ne) de bureau » est une appellation générique couvrant divers métiers administratifs dont les fonctions consistent pour l’essentiel à recueillir, vérifier, trier, saisir, traiter, transformer, présenter des données ; envoyer des informations écrites et orales de manière manuelle et/ou avec du matériel électronique ou informatique. Le contenu du travail varie selon les lieux d’activités (services administratifs d’industries, PME, entreprises, administrations publiques, banques, compagnies d’assurances, etc.). Le(la) technicien(ne) de bureau assure également des fonctions relevant de l’emploi de l’aide comptable particulièrement dans les petites entreprises. La formation s’articule autour de quelques grandes compétences :- Communiquer, assurer les appels téléphoniques entrants et sortants.
- Trier et vérifier des documents. Expédier, rédiger.
- Enregistrer, saisir, consulter des données.
- Traiter des données, gérer des dossiers, planifier, organiser.
- Classer, reproduire, s’intégrer dans la vie professionnelle.
Electricien(ne) de maintenance industrielle – 4°-5°
L’électricien(ne)-automaticien(ne) est capable d’intervenir en toute autonomie sur des systèmes industriels pluridisciplinaires de commande, de puissance, de régulation et de programmation au niveau de la mise en service, du diagnostic, de la réparation. Il (elle) doit pouvoir :- réaliser l’installation, la modification, la maintenance ou l’automatisation, la mise en service d’équipements industriels et la mise au point,
- diagnostiquer toute anomalie pluritechnologique,
- assurer la réparation des pannes de système à base d’automates et microcontrôleurs,
- respecter les dispositions et les prescriptions en vigueur en matière de sécurité, d’hygiène et de protection de l’environnement.
- la compréhension du fonctionnement des systèmes techniques,
- l’intervention fine dans sa technologie,
- l’adaptation à l’évolution technologique,
- la maîtrise des connaissances techniques de base,
- la capacité de transposition du schéma de principe à l’élément matériel,
- le diagnostic et le choix des outils et des méthodes de mesure,
- le sens aigu de l’observation et de l’analyse, le sens de la communication
Électricien(ne) – automaticien(ne) – 6° QE
L’électricien(ne)-automaticien(ne) est capable d’intervenir en toute autonomie sur des systèmes industriels pluridisciplinaires de commande, de puissance, de régulation et de programmation au niveau de la mise en service, du diagnostic, de la réparation. Il (elle) doit pouvoir :- réaliser l’installation, la modification, la maintenance ou l’automatisation, la mise en service d’équipements industriels et la mise au point,
- diagnostiquer toute anomalie pluritechnologique,
- assurer la réparation des pannes de système à base d’automates et microcontrôleurs,
- respecter les dispositions et les prescriptions en vigueur en matière de sécurité, d’hygiène et de protection de l’environnement.
- la compréhension du fonctionnement des systèmes techniques,
- l’intervention fine dans sa technologie,
- l’adaptation à l’évolution technologique,
- la maîtrise des connaissances techniques de base,
- la capacité de transposition du schéma de principe à l’élément matériel,
- le diagnostic et le choix des outils et des méthodes de mesure,
- le sens aigu de l’observation et de l’analyse, le sens de la communication
Mécanicien(ne) de maintenance industrielle – 4°-5°
Le(a) mécanicien(ne)-automaticien(ne) est capable en toute autonomie d’intervenir sur des systèmes de production automatisés pluritechnologiques. Il (Elle) intervient dans des travaux d’installation ou de maintenance de matériel à dominante mécanique et ce, au départ de documents techniques ou d’instructions. Il (Elle) tiendra compte des dispositions et prescriptions en vigueur en matière de sécurité et d’hygiène, de protection de l’environnement, ainsi que de rentabilité. Il (elle) doit pouvoir :- constituer les dossiers complets pluritechnologiques,
- monter, démonter, régler des composants, sous-ensembles, ensembles mécaniques (hydraulique, pneumatique,…) dans un environnement pluritechnologique,
- démarrer / redémarrer des installations,
- diagnostiquer les dysfonctionnements et rétablir la fonctionnalité des outils de production,
- conduire une opération de maintenance (préventive et/ou curative)
- la maîtrise des connaissances techniques de base (mécanique, hydraulique, pneumatique),
- la capacité de transposition du schéma de principe à l’élément matériel,
- le diagnostic, le choix des outils et des interventions,
- le sens aigu de l’observation et de l’analyse,
- la faculté d’auto-apprentissage.
Mécanicien(ne) – automaticien(ne) – 6° QM
Le(a) mécanicien(ne)-automaticien(ne) est capable en toute autonomie d’intervenir sur des systèmes de production automatisés pluritechnologiques. Il (Elle) intervient dans des travaux d’installation ou de maintenance de matériel à dominante mécanique et ce, au départ de documents techniques ou d’instructions. Il (Elle) tiendra compte des dispositions et prescriptions en vigueur en matière de sécurité et d’hygiène, de protection de l’environnement, ainsi que de rentabilité. Il (elle) doit pouvoir :- constituer les dossiers complets pluritechnologiques,
- monter, démonter, régler des composants, sous-ensembles, ensembles mécaniques (hydraulique, pneumatique,…) dans un environnement pluritechnologique,
- démarrer / redémarrer des installations,
- diagnostiquer les dysfonctionnements et rétablir la fonctionnalité des outils de production,
- conduire une opération de maintenance (préventive et/ou curative)
- la maîtrise des connaissances techniques de base (mécanique, hydraulique, pneumatique),
- la capacité de transposition du schéma de principe à l’élément matériel,
- le diagnostic, le choix des outils et des interventions,
- le sens aigu de l’observation et de l’analyse,
- la faculté d’auto-apprentissage.
Bois – 3° PB
Cette année prépare principalement les élèves au cycle de 3 années « Menuisier(ère) d’intérieur et d’extérieur » en Certification par Unités (CPU). Elle vise à asseoir les compétences de base en menuiserie. Les travaux pratiques sont en relation étroite avec les apprentissages développés dans les cours techniques. L’apprentissage met également l’accent sur l’appropriation des règles d’hygiène et de sécurité.
Menuisier(e) d’intérieur et d’extérieur (CPU) – 4°-5°-6° PB
Le programme présente un caractère polyvalent. En effet, il intègre à la fois des activités et des compétences relatives à la menuiserie intérieure et à la menuiserie extérieure. Au terme du cycle de 3 ans, l'élève sera capable de réaliser, à partir d'un minimum de directives, en utilisant l'outillage de base adéquat (machines, outils, matériel) et en prenant en compte les impératifs de qualité, de dimensions, de sécurité et d'hygiène :- réaliser un cadre sans profilage et avec profilage,
- réaliser une porte intérieure,
- réaliser des parements intérieurs (parquets, lambris, faux-plafonds, … )
- réaliser un escalier,
- usiner une menuiserie intérieure sur commande numérique,
- usiner des menuiseries extérieures en bois,
- placer des éléments de menuiserie extérieures (+ parements),
- usiner des menuiseries extérieures en métal ou en matière synthétique,
- usiner une menuiserie extérieure sur commande numérique.
Électricité – 3° PE
Cette année prépare principalement les élèves au cycle de 3 années « Installateur(trice) Electricien(ne) » en Certification par Unités (CPU). Elle vise à asseoir les compétences de base de l’électricité. Les travaux pratiques sont en relation étroite avec les apprentissages développés en dessin, en électricité et en technologie. L’apprentissage met également l’accent sur l’appropriation des règles d’hygiène et de sécurité.
Installateur(trice) electricien(ne) (CPU) – 4°-5°-6° PE
Le métier de l’installateur électricien regroupe trois métiers de l’électricité qui sont l’installateur électricien résidentiel, l’installateur électricien industriel et l’installateur électricien tertiaire. L’installateur électricien est l’ouvrier qualifié qui :- place et raccorde les circuits électriques résidentiels, met en service l’installation et s’assure du fonctionnement correct des installations,
- monte et place les canalisations industrielles et les boîtiers ;
- place et raccorde les composants électriques et les différents tableaux industriels et s’assure du fonctionnement correct des installations ;
- monte et place les canalisations tertiaires et boîtiers ;
- place et raccorde les composants électriques et les différents tableaux tertiaires et s’assure du fonctionnement correct des installations.
Cuisine et salle – 3° PH
Au terme de cette 3ème année, un jeune doit maîtriser les compétences de base lui permettant de préparer des plats simples, d’intervenir dans l’accueil des clients et d’assurer l’envoi des mets simples. L’élève sera capable de :- Identifier, utiliser, respecter les produits alimentaires en fonction des mets servis.
- Identifier le matériel de salle et de cuisine, l’utiliser correctement et le respecter.
- Assurer l’accueil et le départ des clients au restaurant.
- Servir un menu simple et les boissons pour une table.
- Travailler et assurer l’entretien et la remise en ordre des locaux, du mobilier et du matériel dans le respect des règles d’hygiène, de sécurité et d’ergonomie.
- Travailler de manière organisée et éviter le gaspillage.
Mécanique polyvalente – 3° PM
Le programme de 3ème année ne vise pas directement la maîtrise de compétences professionnelles, mais il y prépare. L'apprentissage des techniques et des gestes de base de la mécanique constitue l'objectif essentiel de cette formation. La formation commune permet d'entretenir et de renforcer la maîtrise des compétences de base développées au premier degré.
Mécanicienne d’entretien automobile (CPU) – 4°-5°-6° PG
Sur des voitures particulières et sur des véhicules légers de maximum 6 ans d’âge, Le mécanicien d’entretien automobile est l’ouvrier qualifié qui réalise une partie des opérations (contrôle, remplacement, réglage, … ) liées :- aux entretiens ;
- aux réparations courantes ;
- à la préparation pour le passage au contrôle technique ;
- à la préparation d’un véhicule neuf pour la livraison au client.
Vente – 3° PV
En 3ème année, l’option Vente permet déjà à l’élève de se familiariser avec les compétences de base nécessaires au vendeur et de se rendre compte ainsi de la pertinence de son choix. Le cours d’art de la vente travaille les qualités du vendeur (dont la présentation), analyse l’implantation et l’organisation des magasins, apprend à connaître et à expliquer les caractéristiques d’un produit, apprend à s’y retrouver dans les références courantes et fait découvrir les premiers éléments d’analyse des mobiles d’achat du client. Le cours d’économie de l’entreprise balaie les différentes étapes du fonctionnement de l’entreprise en partant d’un magasin et donc du travail d’un vendeur. Une initiation aux documents commerciaux de base est prévue. Le cours d’étalage-promotion des marchandises initie les élèves à la mise en valeur des marchandises en développant :- la connaissance et l’aptitude à la mise en scène des produits, des éléments et accessoires sur des rayons et présentoirs;
- la compétence à la réalisation d’étiquettes et de petites affichettes;
- la mise en oeuvre progressive d’outils et de matériaux en usage dans la profession;
- le goût du beau - aspect esthétique - par une formation et une éducation au niveau des formes, des couleurs, des matières.
Cuisinier – Cuisinière de collectivité – 4° -5° – 6° PH
Le(la) cuisinier(ère) de collectivités doit maîtriser des compétences pour travailler en cuisine et en salle dans le respect de la législation relative à la sécurité et à l’hygiène alimentaire. Sous la responsabilité d’un chef et au départ de consignes :- Il (elle) peut contrôler la qualité et la quantité des produits et en assurer correctement la conservation ;
- Il (elle) réalise la succession ordonnée et intégrée des opérations de mise en place, de fabrication, de conditionnement et de distribution ;
- Il (elle) assure la maintenance du matériel et des locaux.
- d’effectuer la mise en place en cuisine;
- d’effectuer la mise en place en salle;
- d’effectuer le service;
- d’enregistrer les données;
- de facturer et encaisser;
- de communiquer;
- de remettre de l’ordre et assurer la maintenance.
- de se former.
Soudeur(euse) cordon d’angle / Métallier soudeur – métallière soudeuse – 4°-5°–6° PM
Le soudeur/la soudeuse réalise et répare diverses pièces en trois dimensions telles que des escaliers, des rampes, des garde-corps, des cuves, etc. Il/elle est indispensable dans de nombreux secteurs industriels fabriquant des ensembles mécaniques (machines, véhicules) et métalliques (chaudronnerie, construction métallique) mais aussi dans la construction navale ou aéronautique. Le métier de soudeur/soudeuse évolue constamment et peut s'exercer à l'étranger. L'expérience permettra au soudeur/à la soudeuse d'évoluer et de devenir chef(fe) d'atelier, ou même contremaître de chantier. A l’issue de la formation, l’élève sera capable :- Connaitre les caractéristiques des différents matériaux
- Lire un plan contenant des instructions d’exécution
- Tracer, découper, plier, cintrer, meuler, tarauder des tôles ou des profilés en métal
- Assembler les pièces préparées
- Identifier le procédé de soudage selon le travail à réaliser
- Entretenir son outillage
- Respecter les normes de sécurité
Vendeur – vendeuse – 4° – 5° – 6° PV
Le(la) vendeur(euse) exerce ses fonctions en magasin de détail, en boutique ou dans une surface spécialisée. Les domaines d’activité sont vastes : équipement domestique (électroménager, luminaires, meubles, TV, Hi-Fi, vaisselle, verrerie, revêtements de sols et de murs, etc…) - produits utilitaires (outillage, bricolage, droguerie, etc) - alimentation générale - équipement des personnes (confection, hygiène, chaussures, lingerie, maroquinerie, bijoux, etc.) - produits culturels et ludiques - articles de luxe - services divers, etc. Sa fonction principale est de vendre, c’est-à-dire d’accueillir la clientèle, de l’informer, de déceler ses besoins et ses motivations d’achat, d’argumenter une vente à partir d’une approche produit ou d’une approche client, de conclure la vente et d’en assurer le suivi. Aux compétences professionnelles et techniques, il convient d’ajouter particulièrement les qualités relationnelles de contact, de présentation, tant vis-à-vis de la clientèle que des membres de l’équipe de travail. Il (elle) maîtrise les outils informatiques les plus courants qui ont envahi les magasins tant au niveau de l’information que de la communication et de la gestion. A l’issue de la formation, l’élève sera capable :- d’accueillir la clientèle, d’informer la clientèle; d’argumenter une vente;
- d’assurer la manutention des marchandises;
- d’assurer la présentation et la mise en valeur des marchandises (étalage);
- d’effectuer les opérations liées à l’enregistrement des marchandises et au paiement;
- de participer aux commandes et aux livraisons;
- d’appliquer des techniques de vente à distance;
- de respecter les règles de sécurité et d’hygiène;
- de contribuer au bon fonctionnement du magasin et de gérer la qualité;
- de s’intégrer dans la vie professionnelle.
Complément en agencement d’intérieur – 7° PB
Cette formation poursuit deux objectifs :- L’approfondissement des notions et des techniques acquises au cours des 2e et 3e degrés;
- L’étude des matériaux modernes et de leurs applications dans le domaine de l’agencement d’intérieur.
- un stage en entreprise de quatre semaines,
Technicien(ne) en climatisation et conditionnement d’air – 7° TQC
Le technicien en climatisation et conditionnement d’air est un spécialiste :- des installations de climatisation simples et complexes,
- des installations réversibles ou non-réversibles,
- des installations fixes ou mobiles
- un stage en entreprise de 4 semaines,
- présentation de l’épreuve « Certification environnementale » dans un centre de compétences,
Complément en maintenance d’équipements techniques – 7° PA
L’élève sortant d’une 7PB Complément en maintenance d’équipements techniques sera, suivant les consignes, à même de :- de respecter les règles de sécurité, d’hygiène et d’environnement,
- de maintenir en bon état de fonctionnement les installations industrielles,
- de réaliser des travaux d’installation, lors d’une modification ou d’une amélioration, comportant des composants mécaniques, électriques, électroniques, pneumatiques, hydrauliques,
- d’assurer la maintenance préventive et/ou corrective,
- de diagnostiquer, de localiser une panne et de dépanner,
- d’assister ou de réaliser le redémarrage des installations.
- un stage en entreprise de quatre semaines,
Gestionnaire de très petites entreprises – 7° P GTPE
A l’issue de sa formation, le gestionnaire de très petites entreprises sera capable :- Respecter les législations professionnelles spécifiques à l’activité indépendante.
- Construire un plan financier.
- Gérer le commercial.
- Assurer la gestion comptable et financière de l’entreprise.
- Assurer la gestion des ressources humaines.
- Assurer les activités techniques spécifiques aux métiers.
- un stage en entreprise de quatre semaines.
Traiteur organisateur(trice) de banquets et de réceptions – 7° PH
Cette formation poursuit les objectifs suivants :- La préparation de repas destinés à être servis, sur commande, à l’extérieur;
- Le traiteur est cuisinier, pâtissier, décorateur, vendeur, organisateur de banquets,...
- la maîtrise de l’organisation des différents postes (cuisine, distribution, …)
- l’obtention du certificat d’enseignement secondaire supérieur (CESS);
- l’obtention du certificat de qualification de 7ème année (CQ7);
- l’obtention du certificat de connaissance de gestion de base indispensable pour exercer une activité nécessitant une inscription au registre de commerce ou de l'artisanat.
- un stage en entreprise.
Complement en soudage sur toles et tubes – alternance – 7° PM
L’élève sortant d’une 7e PB Complémentaire Soudeur(euse) sur tubes bout à bout sera, en toute autonomie, à même de :- lire un plan,
- usiner, ajuster, assembler et souder les éléments,
- gérer le planning de son travail,
- contrôler son travail,
- respecter les règles de sécurité, d’hygiène et d’environnement.
Complément en électricité de l’automobile – alternance – 7° PE
L’élève sortant d’une 7e PB Complément en électricité de l’automobile sera, suivant les consignes et en toute autonomie, à même de (d’) :- respecter les règles de sécurité, d’hygiène et d’environnement,
- intervenir sur les circuits électriques simples de l’automobile,
- réaliser des travaux d’installation, de modification ou d’amélioration d’un équipement électrique d’un véhicule automobile,
- assurer la maintenance préventive et/ou corrective,
- diagnostiquer, localiser une panne et dépanner,
- assister ou réaliser le redémarrage de l’installation.
